Pouvez-vous nous présentez votre entreprise ?

« Mon père et son frère aîné ont créé la société en 1968. Ils ont débuté comme maçons. Dans les premiers temps, c’est une entreprise qui faisait des travaux de rénovation. Dans les années 80, la société s’est spécialisée dans la maison individuelle pour le compte de différents constructeurs et en 1983, mon père a lancé les maisons à son propre nom. Je suis rentré dans la société en 1992 comme conducteur de travaux et j’ai ensuite repris les rênes de l’entreprise en 1998 au moment où mon père a 60 ans et part à la retraite. A partir des années 2000, nous avons conservé l’entreprise de maçonnerie et l’entreprise de construction de maisons individuelles tout en développant la promotion immobilière et notamment la création de logements pour le compte de particuliers, d’investisseurs ou de bailleurs sociaux. A ce jour, nous construisons une centaine de logements par an tout confondus, des maisons individuelles comme du logement collectif. »

Quel est votre secteur géographique d’activité ?

« Nous intervenons sur tout le département et plus ponctuellement sur les départements voisins du Rhône et de l’Isère mais 95% de notre activité est dans l’Ain. »

Combien avez-vous de salariés ?

« Nous sommes 25 salariés mais en réalité, nous faisons travailler une centaine de personnes au quotidien, des artisans, sous-traitants qui sont tous des amis. Nous fonctionnons vraiment en entreprise familiale avec des personnes qui travaillent avec nous depuis de nombreuses années. »

Comment se porte votre secteur d’activité ?

« Nous avons connu mieux comme conjoncture. Pour autant, il reste des choses à faire. L’Ain est un département qui va de l’avant. Ambérieu est situé dans un secteur attractif aux portes de Lyon, à proximité du Pôle industriel de la Plaine de l’Ain et de la centrale du Bugey avec les EPR qui arrivent. S’il faut être quelque part dans l’Ain, nous sommes plutôt bien placés du point de vue géographique. Nous avons des programmes en cours et des projets à venir sur les prochains mois et les prochaines années et des réflexions sur du plus long terme. »

Depuis quand êtes-vous partenaire de La Bisou ?

« Je suis partenaire depuis cette année. J’ai rencontré Thibaut Chanel par le biais de la fédération du bâtiment. Moi qui suis un fan de vélo, je ne connaissais pas du tout cette cyclosportive. Je l’ai faite l’an dernier à vélo et cette année, il m’a convaincu de devenir partenaire. J’adore le sport, particulièrement le vélo donc je ne suis pas resté insensible à ses arguments. »

Vous pratiquez le vélo depuis longtemps ?

« Non. Plus jeune, j’ai touché à tous les sports. Comme tous les gamins de mon âge, j’ai fait du foot puis je me suis mis à fond dans le ski de rando. Je fais aussi du triathlon depuis plusieurs années mais je me suis mis à faire du vélo à 50 ans. Cela fait huit ans et je suis tombé amoureux de ce sport. Le vélo me procure vraiment du plaisir. Je fais même partie des Fêlés du Colombier. C’est dommage que je ne l’ai pas découvert avant mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. »

Vous serez au départ dimanche ?

« Oui. Je vais refaire le petit parcours avec les mêmes amis que l’année dernière. J’espère améliorer mon temps. L’année dernière, c’était la première fois que je participais à une course. J’ai trouvé l’ambiance et le parcours très sympas et surtout j’ai vraiment apprécié de courir en peloton. »

Grâce à des partenaires fidèles et passionnés comme Fabrice Corbioli, La Bisou continue de grandir et de rassembler tout un territoire autour du vélo.